Marie-Paule DEVILLE-CHABROLLE est une artiste peintre et sculpteur française née au Maroc en 1952.
Sa démarche est une aventure très personnelle. Chaque rencontre, chaque pays traversé, chaque image entrevue, chaque émotion éprouvée participe à sa création.
Sculptures et sanguines forment un tout, une démarche globale.
Elle étudie deux années à la faculté des Arts Plastiques de Phnom Penh au Cambodge, puis intègre pendant deux ans l’école des Beaux-Arts de Pau. Les ocres et les ors du Maroc, l’évidente beauté des sculptures Khmers où se profile un monde d’équilibre et de silence, tout a laissé son empreinte.
Elle est distinguée par l’Accademia Internationale « Greci Marino » en Italie. En l’an 2000, elle est choisie pour réaliser La Marianne de l’An 2000 sous les traits de Laëtitia Casta. A partir de 2005, Marie-Paule DEVILLE-CHABROLLE collabore avec la maison DAUM, transformant ses œuvres de bronze en sculptures de cristal.
En exposition permanente à Paris, Honfleur, Barbizon et Cannes.
Marie-Paule Deville-Chabrolle rend hommage à la féminité, source d’inspiration inépuisable. Au travers de ses sculptures au style intemporel, elle nous livre ses versions de la femme parfois délicate, fragile et forte à la fois, sensuelle, parfois effrontée, toujours avec élégance. « Chaque création est un introspection, j’y mets à chaque fois une petite partie de moi »…
« Je ne sculpte pas ce que je vois, je sculpte l’émotion reçue. Je ne sculpte pas la nudité, je sculpte la tendre et fragile humanité. Je sculpte la limite extrême de la peau. Je sculpte des visages rêvés aux paupières fermées sur la chute de la lumière. »
Le voyage intérieur n’est pas fini, celui de ses œuvres non plus…
Marie-Paule Deville-Chabrolle est très attachée à l’émotion que suscite son travail auprès de son public. La rencontre entre l’œuvre et le collectionneur, la perception sensorielle qui en émane… Il n’est pas toujours nécessaire de discerner la volonté de l’artiste. Seul le compte le ressenti…Ses œuvres font partie de collections privées dans le monde entier.
Chaque œuvre en bronze est numérotée et signée, en tirage limité. Les bronzes sont réalisés via le processus de la fonte à la cire perdue. Pour chaque numéro, son poids dépend de l’épaisseur de la cire réalisée à chaque tirage. Chaque patine est unique et naît de l’alchimie entre le patineur et son savoir-faire, et la sculpture, raison pour laquelle la patine peut différer d’un numéro à l’autre.